Poulet (vaguement) chasseur, et des prunes braisées en dessert

Vaguement, car je me suis inspiré de la recette pour faire avec ce que j’avais sous la main.

Déjà, il y a du gras de canard.

Il vous faudra aussi :

– quelques morceaux de poulet (cuisse, aile…)

– 2 gros oignons, 2 poivrons et une dizaine de champignons de Paris, le tout coupé petit (cubes, lanières, à vous de voir — j’ai fait ça au robot, en lanières)

– 4 tomates, idem (fraîches ou en bocal)

– 1 ou 2 citrons, selon taille

– 2 gousses d’ail, sel, poivre, persil.

Dans une large cocotte allant au four, faites sauter à feu assez vif le poulet dans le gras de canard, jusqu’à obtention d’une jolie couleur. Réservez le poulet. Mettre dans la cocotte poivrons et oignons détaillés, faire sauter jusqu’à ce que l’eau s’évapore et que ça commence à attacher, réserver les légumes, déglacer au jus de citron(s). Tout remettre dans la cocotte, rajouter les tomates, l’ail, sel, poivre. Les morceaux de poulet doivent être à moitié émergés.

Mettre au four à découvert, 150 C pendant au moins 2 heures, selon votre four. Il faut que la surface commence à faire pellicule/croûte, comme sur la photo :

On sert le poulet chasseur plutôt avec du riz ou des pâtes, mais en l’occurrence ce furent des pommes de terre vapeur.

Ajouter un peu de persil juste avant de servir.

C’était très bon.

Histoire de ne pas chauffer mon (énorme) four pour juste un plat, j’ai continué la cuisson d’un cassoulet dont je vous ai déjà parlé ici et qui devrait être prêt dans 2 ou 3 jours.

J’avais également acheté des prunes tardives, en provenance de chez nos voisins du Sud. Je les ai lavées et mises telles quelles dans une cocotte, sans rien d’autre, et j’ai fait cuire avec le reste (cocotte fermée). Le résultat valait le coup. Bien supérieur à une compote classique sur le feu.

Bon app’

Plodock

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